Guillaume REBEYROL + Marguerite MONTASTIER
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Pierre RIBEYROL Isabeau REBEYROL
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Léonard REBEYROL Élie SUIVRE
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Yvonne Marguerite Marie SUIVRE
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Mon grand-père
Le registres de matricule militaire sont de précieuses sources d'informations. Tout d'abord, ils nous permettent de savoir quelle profession exerçait une personne à ses 20 ans. Ensuite, parce qu'on a une description physique (couleur de cheveux, d'yeux, morphologie du visage, taille, particularités physionomiques) et intellectuelle (degré d'instruction) de cette personne. Enfin, parce qu'ils contiennent les localités successives d'habitation. Et quand comme moi on aime faire de la généalogie descendance (c'est-à-dire retrouver tous les descendants de chaque ancêtre pour savoir ce que sont devenues les différentes branches), cela facilite grandement les choses, notamment pour cette fin de XIXe siècle où les gens avaient une bien plus grande mobilité du fait du chemin de fer. Ainsi, Léonard REBEYROL, un de mes cousins, dont le matricule militaire m'a permis de comprendre pourquoi je ne lui trouvais plus d'enfants à Chaleix (Dordogne) passé la naissance de son premier fils Guillaume en 1888.
(source : Archives départementales de la Corrèze - R 1128 - p. 383) |
Il est sûrement parti exercer ses talents de maréchal-ferrant (la famille travaille le métal depuis des générations, avec pour origines les maîtres de forges CHAPELLE de JUMILHAC dont les REBEYROL héritent les prénoms Guillaume et Marguerite qui font hommage à ces prestigieux ancêtres) en Espagne puisqu'il est indiqué qu'il vit en 1891 à Bilbao en Espagne.
(source : Heredis 2014) |
Même si l'Espagne n'est pas très loin de sa Dordogne natale, c'est amusant de se dire qu'il y a peut-être une branche de cousins qui a fait souche dans ce pays où la légende familiale dit que nous aurions des origines (ce qui n'est pas faux en soit puisque nous avons des ancêtres espagnols au XVIe siècle).
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