Biographie : Marie Jacquine LEFEUVRE

 Marie Jacquine LEFEUVRE

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Joseph CHOTARD

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Joseph CHOTARD

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Victorine Ernestine dite Victoire Ernestine BOURSIER

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales de la Sarthe - 1MI 176 R3 - vues 53-54/101)

 

Marie Jacquine LEFEUVRE est née le 30 septembre 1765 à Louplande (Sarthe). Elle est baptisée le lendemain dans l'église Saint-Léonard de cette commune par Maître MÂLARD, vicaire de la paroisse. Ses parrain et marraine sont : 

• Jacques HUET
• Renée LEFEUVRE, tante de l'enfant

Son père est présent au baptême.

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Elle se marie le 15 thermidor an II (2 août 1794) à Saint-Léonard-et-Louplande (Sarthe) avec Joseph CHOTARD, marchand, fils de Thomas CHOTARD et de Louise Françoise VEGEAIS. Elle est âgée de 28 ans et son futur époux est âgé de 34 ans. Le mariage est célébré par Mathurin PLOT, officier public de la commune. 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales de la Sarthe - 2 Mi EC 179_6-7 - vue 13/549)

Les témoins du mariage sont : 

• Jean LEFEUVRE, marchand à Saint-Léonard-et-Louplande (Sarthe), père de l'épouse
• François Louis CHOTARD, marchand à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe), frère de l'époux
• Nicolas FOUSSET, marchand au Mans (Sarthe), beau-frère de l'épouse
  
• Joseph BOUVET, marchand à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)
• Charles FOUSSET, marchand au Mans (Sarthe)

Après la mort de son premier époux, elle se marie le 22 février 1808 à Louplande (Sarthe) avec Joseph MULOCHEAU, fils de François MULOCHEAU et de Louise RICHARD. Elle est âgée de 42 ans et son futur époux est âgé de 30 ans. Le mariage est célébré par Pierre Louis GAROUY, maire de la commune.

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales de la Sarthe - 2 Mi EC 179_6-7 - vue 96/549)

Les témoins du mariage sont : 

• François MULOCHEAU, père de l'époux
• Louise RICHARD, mère de l'époux
• Nicolas DUPARC, cousin issu de germain de l'épouse
• Pierre ROBIN, journalier
• René GRUDÉ, journalier

Après la mort de son second époux, elle se marie le 7 juillet 1812 à La Suze-sur-Sarthe (Sarthe) avec François JAROSSAY, tonnelier, fils de Joseph JAROSSAY, chaussumier, et de défunte Renée POIRIER. Elle est âgée de 46 ans et son futur époux est âgé de 25 ans. Le mariage est célébré par Augustin GASSELIN, maire de la commune. 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales de la Sarthe - 2 Mi EC 382_9-10 - vue 675/683)

Les témoins du mariage sont : 

• Joseph JAROSSAY, chaussumier à La Chapelle-Saint-Rémy (Sarthe), père de l'époux
• Nicolas JAROSSAY, demeurant à La Chapelle-Saint-Rémy (Sarthe), frère de l'époux
• André MAUBOUSSIN, menuisier à La Suze-sur-Sarthe (Sarthe), ami de l'épouse
• Louis PIOGER, scieur de long à La Suze-sur-Sarthe (Sarthe), ami de l'épouse

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

D'après les signatures, sont également présents à son premier mariage mariage Catherine Renée LE FEUVRE, soeur de l'épouse, LE MARCHAND et J. COTTEREAU.

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ?

(source : Archives départementales de la Sarthe - 2 Mi EC 382_14 - vue 287/401)

Elle meurt le 29 juillet 1826 à 5h à La Suze-sur-Sarthe (Sarthe) âgée de 60 ans. Le décès est déclaré treize heures plus tard à François Philorome Philous GONET, adjoint au maire de la commune, par : 

• François JAROSSAY, mari de la défunte
• Joseph CHOTARD, fils de la défunte
• Guillaume François CHOTARD, fils de la défunte

Elle a probablement été enterrée dans cette commune.

 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

 

(source : BIZARD, Garde national protégeant une cargaison de sucre pendant les émeutes parisiennes de janvier 1791, 1791)

Je n'ai pas d'informations à son sujet, mais son père était commandant de la Garde nationale et son frère René Julien était sous-lieutenant de la Garde nationale lors de la Révolution française.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur iel dans la presse ? 

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-iel connus ?

 

Elle naît sous le règne de Louis XV, roi de France et de Navarre, se marie sous la Convention, puis sous le règne de Napoléon Ier, empereur des Français et meurt sous le règne de Charles X, roi de France et de Navarre. 

8. Quelle était son instruction ?

 

Signature de Marie Jacquine LEFEUVRE

 

Elle savait maladroitement écrire.

9. Dans quel environnement évoluait-iel ?

 

(source : Archives départementales de la Sarthe - 6Fi05234)

Elle passe son enfance à Louplande (Sarthe), commune qui compte alors environ 700 habitants. Après son premier mariage, elle vit à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe), commune d'environ 600 habitants, puis à La Suze-sur-Sarthe (Sarthe), commune de 1800 habitants. 

10. S'est-iel beaucoup déplacé.e dans sa vie ?
 

(source : Heredis 2021)

 

En dehors de ces communes, elle se rend à Chemiré-le-Gaudin (Sarthe) pour le mariage de son frère et au Mans (Sarthe) pour le mariage de son fils. 

11. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-iel ?

 

Je ne lui connais aucune profession. 

12. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-iel ?

 

Idem.

13. Comment apparaît-iel dans les recensements ?  

Les recensements n'existent pas encore à son époque.

14. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le sarthois. 

15. Combien a-t-iel eu d'enfants ?    

Elle a eu quatre enfants avec son premier mari Joseph CHOTARD : 

• Joseph (mon ancêtre), boisselier, tonnelier, marchand revendeur, propriétaire et rentier, né le 9 frimaire an III (29 novembre 1794) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)
• Marie Françoise, née le 16 messidor an VI (4 juillet 1798) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe) et morte à 8 ans
  
• Thomas, né le 11 frimaire an VIII (2 décembre 1799) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe) et mort à 2 ans
• Guillaume François, boisselier, né le 20 ventôse an IX (11 mars 1801) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)

Elle n'a pas eu d'enfants avec ses deux autres époux. 

16. A-t-iel assisté au mariage de ses enfants ?

Le 11 février 1824 au Mans (Sarthe), elle assiste au mariage de son fils Joseph avec Rose JAMIN.

17. Que signifie son nom de famille ? 

D'après Geneanet, LEFEUVRE désigne un forgeron.

18. Qui était son père ?

 

Signature de Jean LEFEUVRE

 

Son père était Jean LEFEUVRE, laboureur, fermier, marchand de bois, commandant de la Garde nationale, cultivateur.

19. Qui était sa mère ?

Sa mère était Renée GAIGNON.

20. Quelle était sa fratrie ?

Elle est la sixième d'une fratrie de douze enfants : 

• Renée Jeanne, femme d'un laboureur à L'Oierie à Louplande (Sarthe)
• Catherine Renée, femme d'un marchand cultivateur et du maire du Grez au Mans (Sarthe) et au Grez (Sarthe)
• Jean, cultivateur et propriétaire à la Métairie de La Touche à Souligné-sous-Vallon (Sarthe)
• Gabrielle Charlotte, propriétaire à Chemiré-le-Gaudin (Sarthe)
• Louise, morte à 2 ans à Louplande (Sarthe)
• René Julien, sous-lieutenant de la Garde nationale à Louplande (Sarthe)
• Louis, mort à 7 mois à Louplande (Sarthe)
• Pierre Louis François, cultivateur, laboureur et propriétaire à Louplande (Sarthe)
• Louise Jeanne, morte à 5 ans à Louplande (Sarthe)
• Nicolas Bruno, marchand au Mans (Sarthe)
• François Gabriel, marchand à Louplande (Sarthe)

21. Avait-iel des relations avec les autres membres de sa famille ?

Elle est en lien avec ses frères et soeurs.

22. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

 

(source : Heredis 2021)

Tous ses ancêtres sont originaires de la Sarthe et sont illettrés, à l'exception de son père et de son arrière-grand-père Louis GAIGNON. Ils sont marchands et travailleurs de la terre (bordagers, vigneron, journalier, laboureur, fermier).

23. Quelle était sa religion ?

Elle était catholique. 

24. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

25. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet.te ancêtre ? Est-elle vraie ?

 

Marie Jacquine LEFEUVRE est une ancêtre du côté maternel, et son deuxième mari Joseph MULOCHEAU est le petit-fils d'un ancêtre du côté paternel (Julien MULOCHEAU => Urbain MULOCHEAU => Renée Julienne MULOCHEAU => Simon BRANCHU => Victor Auguste BRANCHU => Louis Victor BRANCHU => Madeleine Marie Victorine PERLY-BRANCHU => ma grand-mère paternelle). Nos deux familles se sont donc croisées 168 ans avant mes parents, mais elle n'a pas eu d'enfants de ce mariage.

 

26. Comment a-t-iel participé à la vie de la communauté ?

 

Je n'ai pas d'informations à ce sujet. 

 

Biographie : Joseph CHOTARD

Joseph CHOTARD

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Joseph CHOTARD

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Joseph CHOTARD

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Victorine Ernestine dite Victoire Ernestine BOURSIER

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales de la Sarthe - 1 MI 1240 R1 - vue 35/318)

Joseph CHOTARD est né le 6 octobre 1759 à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe).

(source : Gregofhuest, Eglise Saint-Pierre - Fercé-sur-Sarthe - Sarthe (72), 2014)

Il est baptisé le même jour dans l'église Saint-Pierre de cette commune par Maître COURSITÉE, curé de la paroisse. Ses parrain et marraine sont : 

• Louis VEGEAIS, oncle de l'enfant
• Françoise VEGEAIS, tante de l'enfant

Son père est présent au baptême.

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Il se marie le 15 thermidor an II (2 août 1794) à Saint-Léonard-et-Louplande (Sarthe) avec Marie Jacquine LEFEUVRE, fille de Jean LEFEUVRE, marchand, et de défunte Renée GAIGNON. Il est âgé de 34 ans et sa future épouse est âgée de 28 ans. Le mariage est célébré par Mathurin PLOT, officier public de la commune. 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales de la Sarthe - 2 Mi EC 179_6-7 - vue 13/549)

Les témoins du mariage sont : 

• Jean LEFEUVRE, marchand à Saint-Léonard-et-Louplande (Sarthe), père de l'épouse
• François Louis CHOTARD, marchand à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe), frère de l'époux
• Nicolas FOUSSET, marchand au Mans (Sarthe)
• Joseph BOUVET, marchand à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)
• Charles FOUSSET, marchand au Mans (Sarthe)

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

D'après les signatures, sont également présents au mariage Catherine LE FEUVRE, LE MARCHAND et J. COTTEREAU. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ? 

(source : Archives départementales de la Sarthe -2 Mi EC 139_5-6 - vues 344-345/551)

Il meurt le 14 germinal an XI (4 avril 1803) à 7h à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe) âgé de 43 ans. Le décès est déclaré le même jour à M. HATTON, maire de la commune, par : 

• François Louis CHOTARD, demeurant à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe), frère du défunt
• François JUPAIN, demeurant à Pirmil (Sarthe), beau-frère du défunt
• Guillaume LEJEUNE, demeurant à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)

Il a probablement été enterré dans cette commune. 

 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

 

Je n'ai pas d'informations à ce sujet. 

 

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur iel dans la presse ? 

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-iel connus ?

Il naît sous le règne de Louis XV, roi de France et de Navarre, se marie sous la Convention et meurt sous le Consulat.  

8. Quelle était son instruction ?

Signature de Joseph CHOTARD

Il savait lire et écrire.

9. Dans quel environnement évoluait-iel ?

(source : Archives départementales de la Sarthe - 2Fi06677)

 

Il passe toute sa vie à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe). La commune compte à l'époque entre 550 et 580 habitants. 

10. S'est-iel beaucoup déplacé.e dans sa vie ?

Je ne lui connais pas d'autres déplacements que celui qu'il fait à l'occasion de son mariage.  

11. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-iel ?

Il était marchand, mais j'ignore quelles marchandises il vendait.

12. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-iel ?

Il était également cultivateur. 

13. Comment apparaît-iel dans les recensements ?  

Les recensements n'existent pas encore à son époque.

14. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le sarthois. 

15. Combien a-t-iel eu d'enfants ?    

Il a eu quatre enfants avec sa femme Marie Jacquine LEFEUVRE : 

• Joseph (mon ancêtre), boisselier, tonnelier, marchand revendeur, propriétaire et rentier, né le 9 frimaire an III (29 novembre 1794) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)
• Marie Françoise, née le 16 messidor an VI (4 juillet 1798) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe) et morte à 8 ans
  
• Thomas, né le 11 frimaire an VIII (2 décembre 1799) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe) et mort à 2 ans
• Guillaume François, boisselier, né le 20 ventôse an IX (11 mars 1801) à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)

16. A-t-iel assisté au mariage de ses enfants ?

 

Il est mort quand ses enfants étaient encore en bas-âge. 

17. Que signifie son nom de famille ? 

D'après Geneanet, CHOTARD est un hypocoristique du nom de baptême Michel (Michel > Michot > Chotard). D'après Filae, l'origine du prénom Michel est hébraïque. Ce prénom provient de l'agglutination des mots sémites mika et el abrégé d'elohim ce qui signifie : "semblable a dieu". 

18. Qui était son père ?

 

Signature de Thomas CHOTARD

 

Son père était Thomas CHOTARD, marchand. 

 

19. Qui était sa mère ?

Signature de Louise Françoise VEGEAIS

 

Sa mère était Louise Françoise VEGEAIS, marchande.

20. Quelle était sa fratrie ?

 

Il est le cinquième d'une fratrie de huit enfants : 

• Thomas François, mort à 24 jours à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)
• Thomas Noël, marchand à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)
• François Louis, marchand et journalier à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe) et aux Liberdières à Vallon-sur-Gée (Sarthe)
• Louis, mort célibataire à Fercé-sur-Sarthe (Sarthe)
• Louise, dont j'ignore la destinée
• Marie, femme d'un bordager à Pirmil (Sarthe)
• Françoise, femme d'un cordonnier à Mézeray (Sarthe)

21. Avait-iel des relations avec les autres membres de sa famille ?

Il a des liens avec son beau-frère François JUPAIN (époux de sa soeur Marie) et avec son frère François Louis.

22. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

 

 

(source : Heredis 2021)

 

Tous ses ancêtres sont originaires de la Sarthe et une partie d'entre-eux est lettrée. Ils sont marchands et maréchaux. Son arrière-grand-mère Marie BELLANGER est qualifiée d'honnête fille. 

 

23. Quelle était sa religion ?

Il était catholique. 

24. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

25. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet.te ancêtre ? Est-elle vraie ?

 

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

 

26. Comment a-t-iel participé à la vie de la communauté ?

 

Je n'ai pas d'informations à ce sujet.  

Biographie : Marie Marguerite MITAINE

 Marie Marguerite MITAINE

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Marie Marguerite FOLTIER

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Cécile Joséphine MÉTRAU

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Étienne dit Henri GRELOT

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 4 E 161/42 - vue 11/16)

Marie Marguerite MITAINE est née le 9 octobre 1772 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher).

(source : Peter Potrowl, L'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher, Centre, France), 2014)

Elle est baptisée le lendemain dans l'église Saint-Martin de cette commune par Maître PROVANCHERE, curé de la paroisse. Ses parrain et marraine sont : 

• Gentien FLEURY
• Marie Thérèse VIVIER

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Elle se marie le 28 juillet 1789 dans l'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) avec Jean FOLTIER, fils des défunts Jacques FOLTIER et Marie SALMON. Elle est âgée de 16 ans et son futur époux est âgé de 26 ans. Le mariage est célébré par Maître CHAUDEAU, curé de la paroisse. 

Signature de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 4 E 161/59 - vue 9/17)

Les témoins du mariage sont : 

• Étienne FOLTIER, frère de l'époux
• Jean CHAPERON, parrain de l'époux
• Sylvain AUDAIS, ami de l'époux
• Pierre MITAINE, père de l'épouse
• Marguerite PRESSOIR, belle-mère de l'épouse

Après la mort de son premier époux, elle se marie le 8 mai 1810 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) avec Pierre LEROY, domestique, fils des défunts Pierre LE ROY et Marie Jeanne CHANTENET. Elle est âgée de 37 ans et son futur époux est âgé de 22 ans. Le mariage est célébré par l'adjoint au maire de la commune.
 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI161/R5 - vue 278/697)

Les témoins du mariage sont : 

• François LEROY, domestique
• Jean Guillaume BOIFFARD
• Louis METRAU, gendre de l'épouse
• Jean TAILLANDIER

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

Le premier mariage a lieu un mardi, jour traditionnel des mariages sous l'Ancien Régime, et les fiançailles ont lieu la veille le 27 juillet 1789. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ? 

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI241/R11 - vue 111/592)

Elle meurt le 17 novembre 1839 à 15h à la Ferme de Voteau à Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher) âgée de 67 ans. Le décès est déclaré le lendemain à François Vincent CLEMENT, maire de la commune, par : 

• Pierre Étienne LEROY, cultivateur à Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher), fils de la défunte
• Jacques LE ROY, cultivateur à Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher), fils de la défunte

Elle a probablement été enterrée dans cette commune.

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

Les femmes ne participaient pas à l'armée.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur iel dans la presse ? 

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-iel connus ?

Elle naît sous le règne de Louis XV, roi de France et de Navarre, se marie sous le règne de Louis XVI, roi de France et de Navarre, puis de Napoléon Ier, empereur des Français et meurt sous le règne de Louis-Philippe Ier, roi des Français.

8. Quelle était son instruction ?

Elle était illettrée. 

9. Dans quel environnement évoluait-iel ?

Elle passe une grande partie de sa vie à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), puis vit à Loreux (Loir-et-Cher) et Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher).

10. S'est-iel beaucoup déplacé.e dans sa vie ? 

Elle se rend également à Tremblevif (Loir-et-Cher) pour le mariage d'une de ses filles.

11. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-iel ?

Elle était laboureuse, ce qui signifie qu'elle possédait des machines agricoles et des bêtes. 

12. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-iel ?

Elle est également mentionnée comme cultivatrice.

13. Comment apparaît-iel dans les recensements ?  

Les recensements n'existent pas encore à son époque.

14. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le solognot.

15. Combien a-t-iel eu d'enfants ?    

Elle a eu douze enfants issus de ses deux mariages. 

Elle a eu neuf enfants avec son mari Jean FOLTIER : 

• Marie Marguerite (mon ancêtre), journalière, née le 24 septembre 1790 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Françoise, cultivatrice et journalière, née le 29 avril 1793 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Angélique, lingère, née le 19 ventôse an III (9 mars 1795) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Sylvain, né le 11 thermidor an IV (29 juillet 1796) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 6 mois
• Jean Martin, né le 19 thermidor an VI (6 août 1798) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et dont j'ignore la detinée
• François Benjamin, né le 2 vendémiaire an VIII (24 septembre 1799) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 3 ans
• Luce Françoise, née le 6 vendémiaire an XI (28 septembre 1802) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et morte à 11 mois
• Thérèse, née le 26 fructidor an XII (13 septembre 1804) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et dont j'ignore la destinée
• Victoire, journalière, née le 23 septembre 1807 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)

Elle a eu trois enfants avec son mari Pierre LEROY :

• Joséphine Sophie, fille de maison et fileuse, née le 27 août 1810 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre Étienne, cultivateur, marchand brocanteur et aubergiste, né le 15 janvier 1813 à Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher)
• Jacques, cultivateur, laboureur, journalier et mercier, né le 9 juin 1817 à Loreux (Loir-et-Cher)

16. A-t-iel assisté au mariage de ses enfants ?

Le 23 vendémiaire an XIV (15 octobre 1805) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de sa fille Marie Marguerite avec Louis METRAU, charron.

Le 14 juillet 1816 à Loreux (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de sa fille Françoise avec Jacques BEIGNET, journalier.

Le 16 août 1816 à Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de sa fille Victoire avec Sylvain BOITON, cultivateur.

Le 18 août 1818 à Tremblevif (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de sa fille Angélique avec Louis BUDIN, journalier.

Le 18 juin 1831 à Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de sa fille Joséphine Sophie avec Roch Viâtre RICORDEAU, laboureur.

17. Que signifie son nom de famille ? 

D'après Geneanet, le nom MITAINE désigne en principe un fabricant ou un porteur de mitaines (qui étaient au Moyen Âge des moufles).

18. Qui était son père ?

Son père était Pierre MITAINE, maître charron.

19. Qui était sa mère ?

Sa mère était Marguerite LAVILLE, elle meurt quand Marie Marguerite est âgée de 4 ans.

20. Quelle était sa fratrie ?

Elle est la quatrième d'une fratrie de treize enfants issus des deux mariages de son père : 

• Marie, morte à 19 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Louis, dont j'ignore la destinée
• François, mort à 11 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Marie Marguerite, morte à 4 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Jacques, mort à 10 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Clément, mort à 4 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre Laurent, mort à 12 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Simon, mort à 25 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Marguerite, dont j'ignore la destinée
• François, mort à 11 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Françoise, morte à 21 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Brigitte, dont j'ignore la destinée

21. Avait-iel des relations avec les autres membres de sa famille ?

 

Elle semble être la seule survivante de sa famille.

22. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

 

(source : Heredis 2021)

Tous ses ancêtres sont illettrés et originaires du Loir-et-Cher. Ils sont laboureurs, maître charron et meunier.

23. Quelle était sa religion ?

Elle était catholique. 

24. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

25. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet.te ancêtre ? Est-elle vraie ?

 

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

 

26. Comment a-t-iel participé à la vie de la communauté ?

 

Je n'ai pas d'informations à ce sujet. 

Biographie : Jean FOLTIER

 Jean FOLTIER

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Marie Marguerite FOLTIER

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Cécile Joséphine MÉTRAU

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Étienne dit Henri GRELOT

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 4 E 231/48 - vue 8/14)

 

Jean FOLTIER est né le 27 août 1762 à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher).

(source : Vincent4145, Saint-Viâtre église, 2012)

Il est baptisé le lendemain dans l'église Saint-Viâtre de cette commune par Maître LE RASLE, curé de la paroisse. Ses parrain et marraine sont : 

• Jean CHAPERON
• Cécile BROSSARD

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

(source : Peter Potrowl, L'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher, Centre, France), 2014)

 

Il se marie le 28 juillet 1789 dans l'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) avec Marie Marguerite MITAINE, fille de Pierre MITAINE, maître charron, et de défunte Marguerite LAVILLE. Il est âgé de 26 ans et sa future épouse est âgée de 16 ans. Le mariage est célébré par Maître CHAUDEAU, curé de la paroisse. 

Signature de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 4 E 161/59 - vue 9/17)

Les témoins du mariage sont : 

• Étienne FOLTIER, frère de l'époux
• Jean CHAPERON, parrain de l'époux
• Sylvain AUDAIS, ami de l'époux
• Pierre MITAINE, père de l'épouse
• Marguerite PRESSOIR, belle-mère de l'épouse
  

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

Le mariage a lieu un mardi, jour traditionnel des mariages sous l'Ancien Régime, et les fiançailles ont lieu la veille le 27 juillet 1789. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ? 

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI161/R5 - vue 258/697)

Il meurt le 27 juin 1809 à 16h à La Noue à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) âgé de 46 ans. Le décès est déclaré le jour même à Gentien GILLET, officier de l'état-civil de la commune par :

• Louis METRAU (mon ancêtre), charron, gendre du défunt
• Louis CHESNAY, aubergiste, ami du défunt

Il a probablement été enterré dans cette commune.

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

 

Les registres de son époque ne sont pas numérisés.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur iel dans la presse ? 

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-iel connus ?

Il naît sous le règne de Louis XV, roi de France et de Navarre, se marie sous le règne de Louis XVI, roi de France et de Navarre, et meurt sous le règne de Napoléon Ier, empereur des Français. 

8. Quelle était son instruction ?

Il était illettré. 

9. Dans quel environnement évoluait-iel ?

(source : Heredis 2021)

Il naît et grandit à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher), puis vit à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) à partir de son mariage. La commune compte alors environ 1000 habitants. 

10. S'est-iel beaucoup déplacé.e dans sa vie ? 

Je ne lui connais pas de déplacement en dehors de ces deux communes. 

11. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-iel ?

Il était aubergiste, c'est-à-dire qu'il tenait un établissement où les hommes et les chevaux pouvaient se reposer et se restaurer pour la nuit. 

12. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-iel ?

Il était également charron. Le charron était un artisan qui utilisait le bois et le fer pour construire et réparer des véhicule attelés. Le cœur de son métier était la maîtrise de la roue. Il est aussi mentionné une fois comme cultivateur. Il semble avoir exercé tous ces métiers en même temps.

13. Comment apparaît-iel dans les recensements ?  

Les recensements n'existent pas encore à son époque.

14. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le solognot.

15. Combien a-t-iel eu d'enfants ?    

Il a eu neuf enfants avec sa femme Marie Marguerite MITAINE : 

• Marie Marguerite (mon ancêtre), journalière, née le 24 septembre 1790 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Françoise, cultivatrice et journalière, née le 29 avril 1793 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Angélique, lingère, née le 19 ventôse an III (9 mars 1795) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Sylvain, né le 11 thermidor an IV (29 juillet 1796) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 6 mois
• Jean Martin, né le 19 thermidor an VI (6 août 1798) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et dont j'ignore la detinée
• François Benjamin, né le 2 vendémiaire an VIII (24 septembre 1799) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 3 ans
• Luce Françoise, née le 6 vendémiaire an XI (28 septembre 1802) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et morte à 11 mois
• Thérèse, née le 26 fructidor an XII (13 septembre 1804) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et dont j'ignore la destinée
• Victoire, journalière, née le 23 septembre 1807 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)

16. A-t-iel assisté au mariage de ses enfants ?

 
Le 23 vendémiaire an XIV (15 octobre 1805) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), il assiste au mariage de sa fille Marie Marguerite avec Louis METRAU, charron.

17. Que signifie son nom de famille ? 

D'après Geneanet, ce nom surtout porté dans le Cher serait un nom de métier : garde-forestier. 

18. Qui était son père ?   

Son père était Jacques FOLTIER, locataire, journalier et charbonnier. Il est mort quand Jean était âgé de 12 ans.

19. Qui était sa mère ?

 Sa mère était Marie SALMON, domestique. 

20. Quelle était sa fratrie ?

Il est le dix-neuvième d'une fratrie de vingt enfants issus des quatre mariages de son père et des deux mariages de sa mère : 

• Claude FOLTIER, mort à 21 jours à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Marie FOLLETIER, domestique à Salbris (Loir-et-Cher)
• Marguerite FOLLETIER, femme d'un tisserand à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Sylvine FORTIER, morte à 9 jours à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Pierre FOLLETIER, mort à 3 mois à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Jacques FOLTIER, mort à 2 mois à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Jacques FOLTIER, mort à 5 ans à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Anne dite Jeanne FOLLETIER, morte à 17 mois à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Pierre FOLTIER, mort à 2 ans à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Charles FOLTIER, mort à 2 jours à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Jacques FOLLETIER, domestique à L'Arsendrie à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Étienne FOLTIER, journalier à Tremblevif (Loir-et-Cher)
• Pierre FOLTIER, mort à 9 mois à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Pierre FOLTIER, mort à 3 ans à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Viâtre ROUX, mort à 4 jours à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Sylvain FOLTIER, mort à 6 jours à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Marie FOLTIER, morte à 18 jours à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Jacques FOLLETIER, mort à 2 mois à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)
• Pierre Sylvain FOLTIER, mort à 8 ans à Saint-Viâtre (Loir-et-Cher)

21. Avait-iel des relations avec les autres membres de sa famille ?

 

Il semble être proche de son frère Étienne car il est témoin à son mariage. 

22. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

 

(source : Heredis 2021)

Ses ancêtres sont originaires du Cher et du Loir-et-Cher et sont tous illettrés à l'exception de son grand-père Pierre FOLTIER. Ils sont travailleurs de la terre (journaliers, manoeuvres, vigneron, locataire), charbonnier et domestique. 

 

23. Quelle était sa religion ?

Il était catholique. 

24. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

25. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet.te ancêtre ? Est-elle vraie ?

 

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

 

26. Comment a-t-iel participé à la vie de la communauté ?

 

En tant qu'aubergiste, il était au coeur de la communauté. Voici ce que dit Amédée ACHARD de cette profession en 1862 : "C'est dans une petite ville qu'il faut s'arrêter, une toute petite ville du Languedoc ou de la Normandie, sans prétention aucune, et qui aspire tout au plus aux honneurs administratifs de la justice de paix et du chef-lieu de canton. Là, vous ne chercherez pas longtemps sans découvrir l'auberge, et si vous avez trouvé l'auberge, vous avez du même coup mis la main sur l'aubergiste, tant le maître quitte peu sa maison, pas plus que l'huître son écaille ; il vit dans elle et pour elle, si bien que la physionomie du bâtiment et la physionomie de l'homme ont quelque chose de sympathique, et qu'il serait impossible de trouver un autre logis pour ce maître et un autre maître pour ce logis. [...] Parfois, aussi, l'auberge est assise sur la grand'place, tout à côté de la mairie, en face de l'église paroissiale ; le vieil ormeau qui a vu danser quatre générations sous ses vigoureuses branches ombrage sa large porte cochère ; mais cette auberge-ci est quelque parvenue qui vient insolemment étaler son luxe de fraîche date tout au milieu de la ville. Son propriétaire est un homme cossu qui a puisé quelques idées tronquées d'amélioration et de confortable dans ses fréquents voyages à la sous-préfecture ; il a, tant bien que mal, et plutôt mal que bien, restauré un antique couvent que les hasards des révolutions ont fait passer dans les mains de sa famille [...]. Au milieu de tout ce bruit, l'aubergiste se multiplie ; il touche dans la main du voisin qui passe, apporte la provende au cheval du postillon, allume sa pipe au cigare du commis voyageur, verse un petit verre au garde-chasse, salue le gendarme qui entre, stimule sa femme qui gouverne la cuisine, gourmande la fille qui batifole dans la cour, jette une bûche au feu, découpe un jambon, monte de la cave au grenier, crie, appelle, répond, gronde, et se trouve encore le premier à la porte de l'auberge lorsque le bruit du fouet retentit sur la route. 

On ne saurait s'imaginer, à moins de l'avoir vu, quel homme c'est qu'un aubergiste dans les bourgs, les villages, les hameaux : c'est le premier de l'endroit, la tête, le chef de la localité, la clef de voûte du pays ; s'il n'est pas maire, il passe avant le maire ; il éclipse l'adjoint, marche de pair avec le brigadier de gendarmerie et rivalise d'importance avec le juge de paix du canton. Les petits enfants le connaissent, les jeunes filles le considèrent, voire même le courtisent s'il est encore célibataire ; il est l'ami de tous les hommes, le camarade de tous les passants, la providence de tous les voyageurs. Il donne à dîner à tout le pays, et il arrive souvent que tout le pays lui doit les dîners qu'il donne. Il a affaire à tout le monde : c'est le pivot autour duquel tourne tout le canton ; c'est bien plus à l'auberge qu'à l'hôtel de ville que se traitent les affaires de la commune : le greffier de la mairie enregistre les décisions prises par le conseil municipal, réuni en séance autour de quelques pots de vin, chez l'aubergiste. L'aubergiste n'est rien, mais il délibère et vote ; mieux que personne, il sait ce qui se passe au chef-lieu : monsieur le préfet a mangé de sa cuisine ; les conducteurs de diligences, les gendarmes en mission, les rouliers de passage lui racontent ce qui se fait hors des frontières du village. On le consulte comme un oracle sibyllin ; ce qu'il ne sait pas, il l'invente ; ce qu'il dit, on le croit ; ce qu'il propose, on l'exécute. L'aubergiste a salué les grands personnages et vu les princes qui voyagent incognito ; il n'est pas impossible même qu'il n'ait parlé à leur valet de chambre à propos de quelque fourniture. Le soir, il conte leur dialogue au village assemblé dans l'auberge, et le lendemain, il se trouve que l'aubergiste est devenu un personnage politique, grâce aux révélations que lui a faites le valet de chambre, transformé, pour le moins, en secrétaire intime. S'il se rencontre une fête à célébrer, voilà l'aubergiste qui dispose son logis et plante un mai devant sa porte. Quelqu'un se marie-t-il ? on dînera certainement dans le jardin de l'auberge, on dansera sous la tonnelle de l'auberge, on se grisera avec le vin de l'auberge. L'aubergiste est le parrain-né des enfants du pays, le témoin de tous les époux, comme il a été le prétendant de toutes les filles." (source : Amédée ACHARD, Les Français peints par eux-mêmes : Encyclopédie morale du dix-neuvième siècle, t. I, Paris, L. Curmer, 1862 pp. 323-325)

 

Biographie : Thérèse NOLIN

 Thérèse NOLIN

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Louis METRAU

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Cécile Joséphine MÉTRAU

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Étienne dit Henri GRELOT

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 4 E 161/21 - vue 7/16)

Thérèse NOLIN est née le 3 mai 1751 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher).

(source : Peter Potrowl, L'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher, Centre, France), 2014)

Elle est baptisée le même jour dans l'église Saint-Martin de cette commune par Maître PROVANCHERE, curé de la paroisse. Ses parrain et marraine sont : 

• Jacques AUGENDRE
• Jeanne BERRUÉ, tante de l'enfant

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Elle se marie le 2 mars 1772 dans l'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) avec Jacques METROT, fille des défunts Jacques MAITREAU et Marie MALECOT. Elle est âgée de 20 ans et son futuré poux est âgé de 28 ans. Le mariage est célébré par Maître PROVANCHERE, curé de la paroisse. 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 4 E 161/42 - vue 5/16)

Les témoins du mariage sont : 

• Jacques Charles GITTON
• Pierre CHAPART
• François FARDEAU
• Laurent FARDEAU
• Pierre NOLIN, aubergiste, père de l'épouse
• Marie Anne BERRUÉ, mère de l'épouse
• Marie Françoise NOLIN femme MAUDHUIZON, soeur de l'épouse
• Marguerite Françoise NOLIN, soeur de l'épouse
• Clément NOLIN, frère de l'épouse
• Pierre NOLIN, frère de l'épouse
• François Philippe MAUDHUIZON, beau-frère de l'épouse
• Marie Anne BOURGERET, veuve NOLIN, tante de l'épouse
• Georges NOLIN, cousin germain de l'épouse
• Marie NOLIN, cousine germaine de l'épouse
  

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

Les fiançailles ont lieu dimanche 1er mars 1772.

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ? 

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI161/R6 - vue 151/597)

Elle meurt le 28 décembre 1825 à 17h au Champ de Foire à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) âgée de 74 ans. Le décès est déclaré le lendemain à Jacques Barthélémy DARBLAY, maire de la commune, par : 

• Louis METRAU (mon ancêtre), charron à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), fils de la défunte
• François MÉTRAU, marchand de chevaux à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), fils de la défunte

Elle a probablement été enterrée dans cette commune.

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

 

Les femmes ne participaient pas à l'armée.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur iel dans la presse ? 

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-iel connus ?

Elle naît et se marie sous le règne de Louis XV, roi de France et de Navarre, et meurt sous le règne de Charles X, roi de France et de Navarre.

8. Quelle était son instruction ?

Elle était illettrée.

9. Dans quel environnement évoluait-iel ?

(source : Wikipedia)

 

Elle passe toute sa vie à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), commune qui compte alors environ 1000 habitants. 

10. S'est-iel beaucoup déplacé.e dans sa vie ?

Elle se rend à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret) pour le mariage d'un de ses fils.

11. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-iel ?

Je ne lui connais pas de profession.

12. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-iel ?

Idem.

13. Comment apparaît-iel dans les recensements ?  

Les recensements n'existent pas encore à son époque.

14. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le solognot.

15. Combien a-t-iel eu d'enfants ?    

Elle a eu treize enfants, dont six seulement atteignent l'âge adulte, avec son mari Jacques METROT : 

• Pierre Jacques, né le 4 avril 1773 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 1 mois
• Pierre, né le 16 septembre 1774 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 8 ans
• Jacques Fils, menuisier, né le 18 octobre 1775 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• François Bohémar, né le 2 novembre 1776 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 2 mois
• Thérèse, née le 28 décembre 1777 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et morte à 13 jours
• Louis François, né le 8 novembre 1779 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 19 jours
• Marie Anne Thérèse, née le 8 décembre 1780 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et morte à 21 jours
• Louis (mon ancêtre), charron, propriétaire et journalier, baptisé le 2 janvier 1782 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Madeleine, journalière, née le 31 mars 1783 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Hubert Jacques, né le 17 janvier 1785 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 3 ans
• Thérèse Françoise, lingère et journalière, née le 28 février 1787 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
•  François, domestique, marchand de bestiaux, marchand de chevaux et maquignon, né le 17 février 1790 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
•  Pierre, menuisier et mendiant, né le 11 messidor an II (29 juin 1794) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)

16. A-t-iel assisté au mariage de ses enfants ?

Le 8 ventôse an IV (27 février 1796) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de son fils Jacques avec Françoise Élisabeth MAUDHUIZON, sa cousine germaine.

Le 23 vendémiaire an XIV (15 octobre 1805) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de son fils Louis avec Marie Marguerite FOLTIER, fille d'un charron.

Le 18 juin 1806 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de sa fille Madeleine avec Louis CHESNAY, terrassier.

Le 3 juin 1812 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de son fils François avec Marie DUBOIS.

Le 4 mars 1813 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de sa fille Thérèse Françoise avec Sylvain DUBOIS, cultivateur.

Le 15 février 1816 à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret), elle assiste au mariage de son fils Pierre avec Angélique Thérèse VIGINIER, fille d'un postillon.

17. Que signifie son nom de famille ? 

D'après Geneanet, NOLIN est un hypocoristique formé par aphérèse sur un nom de personne terminé par -nol, noul-, -nou (Arnoul, Bernol, Renou). 

 

18. Qui était son père ?  

 

Signature de Pierre NOLIN

 

Son père était Pierre NOLIN, cabaretier et aubergiste.

19. Qui était sa mère ?

Sa mère était Marie Anne BERRUÉ.

20. Quelle était sa fratrie ?

 

Elle était la troisième d'une fratrie de douze enfants : 

• Marie Anne, morte à 6 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Marie Françoise, femme d'un maréchal à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Marguerite Françoise, morte à 20 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre, probablement mort en bas-âge
• Sylvain, mort à 8 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Georges, mort à 2 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre, probablement mort en bas-âge
• Clément, aubergiste au Lion d'Or à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre, mort célibataire à 27 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Marie Anne, probablement morte en bas-âge
• Marie Anne, probablement morte en bas-âge

21. Avait-iel des relations avec les autres membres de sa famille ?

 

Elle a des liens avec ses frères et soeurs et leurs époux et épouses, ainsi qu'avec ses cousins NOLIN.

 

22. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

 

(source : Heredis 2021)

Tous ses ancêtres sont originaires du Loir-et-Cher et du Loiret. Les hommes de sa lignée paternelle savent tous signer. Ils sont laboureurs, maître chirurgien, cabaretier et aubergiste.

 

23. Quelle était sa religion ?

Elle était catholique. 

24. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

25. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet.te ancêtre ? Est-elle vraie ?

 

(source : Auguste Hippolyte COLLARD, Maison d'Arrêt Cellulaire (Mazas), entre 1876 et 1880)

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet, mais son fils cadet Pierre est emprisonné 3 mois à la Prison Mazas à Paris pour délit de ban rompu et mendicité. Il mesurait 1m64, avait des favoris, les oreilles percées, l'oreille droite coupée. Il perd le droit d'habiter à Paris et est banni à Bordeaux (Gironde) où il meurt un an plus tard à l'hospice.

26. Comment a-t-iel participé à la vie de la communauté ?

 

Je n'ai pas d'informations à ce sujet.