Biographie : Louis METRAU

 Louis METRAU

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Cécile Joséphine MÉTRAU

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Étienne dit Henri GRELOT

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 4 E 161/52 - vue 2/15)

Je ne connais pas exactement la date de naissance de Louis METRAU qui est probablement né le même jour que celui de son baptême, le 2 janvier 1782 dans l'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), par Maître BAZINET, vicaire de la paroisse.

(source : Peter Potrowl, L'église Saint-Martin de Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher, Centre, France), 2014, CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons)

Ses parrain et marraine sont :

• Clément BERRUÉ
• Louise GANDOIS

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Il se marie le 23 vendémiaire an XIV (15 octobre 1805) à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) avec Marie Marguerite FOLTIER, fille de Jean FOLLETIER, charron, et de Marie Marguerite MITAINE. Il est âgé de 23 ans et sa future épouse est âgée de 15 ans. Le mariage est célébré par Jacques DARBLAY, maire de la commune. 

Signature de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI161/R5 - vue 131/697)

Les témoins du mariage sont :

• Jean FOLLETIER, charron, père de l'épouse
• Marie Marguerite MITAINE, mère de l'épouse
• Marie Anne BERRUÉ, grand-mère de l'époux
• Thérèse NOLIN, mère de l'époux
• Jacques METREAU, menuisier, frère de l'époux
• Simon MITAINE, meunier, oncle de l'épouse

Tous sont domiciliés à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) sauf Simon MITAINE qui habite à Vouzon (Loir-et-Cher).  

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

Le mariage se déroule en présence de la mère de l'époux et des parents de l'épouse.

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 1 MIEC 161 R3 - vue 41/522)

Il meurt le 18 octobre 1865 à 5h à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) âgé de 83 ans. Le décès est déclaré quatre heures plus tard à Toussaint Adolphe PARENT, adjoint au maire de la commune par :

• Claude METREAU, charpentier à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), fils du défunt
• François Noël METRAU, couvreur à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret), fils du défunt

Il a probablement été inhumé dans cette commune. 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

Les matricules de son époque ne sont pas numérisés.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur lui dans la presse ?

Non. 

7. Quels évènements historiques a-t-il connus ?

Il naît sous le règne de Louis XVI, roi de France et de Navarre, se marie sous le règne de Napoléon Ier, empereur des Français, et meurt sous le règne de Napoléon III, empereur des Français. 

8. Quelle était son instruction ?

 

Signature de Louis METRAU

Il savait lire et écrire. 

9. Dans quel environnement géographique évoluait-il ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 6 Fi 161/9)

Il passe toute sa vie à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), route de Toulouse et rue du Vienin. À son époque, la commune compte environ 1500 habitants. 

10. S'est-il beaucoup déplacé dans sa vie ?

Il se déplace à Olivet (Loiret) et à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret) pour les mariages de ses enfants. Il va également à Tremblevif (Loir-et-Cher) en 1818 pour le mariage de sa belle-soeur.

11. Comment se déplaçait-il ?

Il se déplaçait probablement en voiture à cheval.

12. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-il ?

(Daniel RAMÉE, Un charron à Florence, 19e siècle)

Il exerce la profession de charron. Le charron était un artisan qui utilisait le bois et le fer pour construire et réparer des véhicule attelés. Le cœur de son métier était la maîtrise de la roue. 

13. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-il ?

Il est également propriétaire et journalier (travailleur agricole à la journée) à la fin de sa vie.

14. Comment apparaît-il dans les recensements ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 2 MILN R179 - vue 73/480)

Il vit avec sa femme et ses fils. En 1851, il vit Rue du Vienin à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) avec sa femme, ses fils Clément Aimable et François Noël et deux de ses petits enfants, Benjamin et Marie Rosalie dite Louise. 

15. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le solognot. 

16. Combien a-t-il eu d'enfants ?

 Il a eu dix enfants avec sa femme Marie Marguerite FOLTIER : 

• Louis, charron, né le 7 juillet 1807 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
• Pierre Benjamin, domestique et journalier, né le 25 juillet 1810 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
•  Marguerite Julie, journalière, née le 30 mars 1813 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
•  Clément Aimable, charron et ouvrier, né le 8 décembre 1815 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
•  Claude, charpentier, né le 19 août 1818 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
•  Adélaïde, couturière, née le 1er juin 1821 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
•  Gentien, jumeau de la précédente, né le 1er juin 1821 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et mort à 1 jour
• Françoise Victoire, couturière et journalière, née le 18 décembre 1822 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
•  Cécile Joséphine (mon ancêtre), domestique et rentière, née le 4 septembre 1825 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 
•  François Noël, terrassier et couvreur, né le 19 décembre 1829 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) 

17. A-t-il assisté au mariage de ses enfants ?

 Le 20 janvier 1835 à Olivet (Loiret), il assiste au mariage de son fils Louis avec Marie Louise Désirée TROUILLET, couturière.

Le 9 mai 1838 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), il assiste au mariage de son fils Pierre Benjamin avec Augustine CHAPRON, domestique.

Le 9 mai 1838 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), il assiste au mariage de sa fille Marguerite Julie avec Pierre André DELAHAYE, postillon.

Le 21 octobre 1845 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), il assiste au mariage de sa fille Françoise Victoire avec François PELOUARD, maçon. 

Le 24 novembre 1847 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), il assiste au mariage de son fils Claude avec Gabrielle AUCLAIR, domestique. 

Le 14 mai 1850 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), il assiste au mariage de sa fille Cécile Joséphine avec Louis Noël GRÉLOT, messager. 

Le 8 septembre 1856 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), il assiste au mariage de son fils Clément Aimable avec Sylvine Julie BOURY, journalière.

Le 24 novembre 1857 à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret), il assiste au mariage de son fils François Noël avec Louise Alexandrine RIBALET, cuisinière. 

18. Que signifie son nom de famille ?

Selon le site Forebears, MÉTREAU (rencontré également METRAU, MESTREAU, MAISTREAU, METTRAU), est un dérivé de "maître". 

19. Qui était son père ?

Signature de Jacques METROT

Son père était Jacques METROT, menuisier.

20. Qui était sa mère ?

Sa mère était Thérèse NOLIN. 

21. Quelle était sa fratrie ?

Il est le huitième d'une fratrie de treize enfants :

• Pierre Jacques, mort à un mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre, mort à 8 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Jacques, menuisier à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• François Bohémar, mort à 2 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Thérèse, morte à 13 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Louis François, mort à 19 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Marie Anne Thérèse, morte à 21 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Madeleine, journalière à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Hubert Jacques, mort à 3 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Thérèse Françoise, lingère et journalière à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• François, domestique, marchand de bestiaux, marchand de chevaux et maquignon à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre, menuisier à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)

22. Avait-il des relations avec les autres membres de sa famille ? 

Il est en lien avec ses frères et soeurs survivants, notamment son frère François qui est témoin de nombreux actes de sa famille. 

23. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

(source : Heredis 2021)

Tous ses ancêtres sont illettrés à l'exception de son père et de son grand-père maternel. Ils sont originaires du Loir-et-Cher, de la Vienne et du Maine-et-Loire. Ils sont laboureurs, maréchaux et aubergistes. 

24. Quelle était sa religion ?

Il était catholique. 

25. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

26. Avez-vous des photos de votre ancêtre ?

Non. 

27. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet ancêtre ? Est-elle vraie ?

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

28. Comment a-t-il participé à la vie de la communauté ?

Il fabriquait et réparait des roues à une époque où le chemin de fer n'existait pas et où la voiture à cheval ou diligence était le seul moyen de déplacement sur de longues distances.

Biographie : Françoise Félicité dite Marie Félicité ou Flore DELAHAYE

 Françoise Félicité dite Marie Félicité ou Flore DELAHAYE

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Louis Noël GRÉLOT 

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Étienne dit Henri GRELOT

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Loiret - 4 NUM 75/1 - vues 51-52/204)

Françoise Félicité DELAHAYE est née le 20 brumaire an IV (11 novembre 1795) à 6h à La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret). Sa naissance est déclarée le lendemain à Jacques BLANCHARD, membre du conseil général de la commune, par son père, André DELAHAYES, vigneron au Quartier du Courant à La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret). Je ne sais pas qui sont ses parrain et marraine, mais les deux témoins de sa naissance sont :

• Marie Françoise DELAHAYES, lingère au 40 rue de la Hallebarde à Orléans (Loiret), tante de l'enfant
• Marie Madeleine GIGAUT, vigneronne au Quartier du Courant à La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret)

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Elle se marie le 27 mai 1823 à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret) avec Louis GRELOT, postillon de diligence, fils de défunt Pierre dit François Pierre GRELOT et de Françoise GAGNEPAIN. Elle est âgée de 27 ans et son futur mari est âgé de 22 ans. Le mariage est célébré par l'adjoint au maire de la commune. 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Loiret - 4 NUM 146/2 - vue 11/103)

Les témoins du mariage sont :

• Étienne BERTIN, aubergiste, ami de l'époux
  
• Adam DUBOIS, compagnon maréchal, ami de l'époux
• André DELAHAYE, jardinier, frère de l'épouse
• Jean Joseph Simon MOULIN, propriétaire, ami de l'épouse

Tous sont domiciliés à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret). 

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

Le mariage se déroule en présence des mères des deux époux, leurs pères étant décédés. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ?

 

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI161/R8 - vue 194/655)

Elle meurt le 25 janvier 1855 à 3h à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) âgée de 59 ans. Le décès est déclaré cinq heures plus tard à Édouard François BERGERON-DANGUY, maire de la commune, par :

• Louis Noël GRÉLOT (mon ancêtre), employé au chemin de fer à Étréchy (Essonne), fils de la défunte
  
• Jean Alfred Eugène GRELOT, journalier à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), fils de la défunte

Elle a probablement été inhumée dans cette commune. 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

Les femmes ne participaient pas à l'armée.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur elle dans la presse ?

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-elle connus ?

Elle naît sous la Convention, se marie sous le règne de Louis XVIII, roi de France et de Navarre, et meurt sous le règne de Napoléon III, empereur des Français. 

8. Quelle était son instruction ?

Elle était illettrée. 

9. Dans quel environnement géographique évoluait-elle ?

(source : Archives départementales du Loiret - 11 FI 25)

Elle passe son enfance, jusqu'à ses 9 ans au Château de la Renardière à Ardon (Loiret) où son père vit et est jardinier. À cette époque, la commune compte environ 450 habitants. Elle vit ensuite à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret) commune d'alors 1600 habitants environ jusqu'à son mariage, à la suite duquel elle vivra Grande Rue à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher). 

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 6 Fi 161/28)

 

10. S'est-elle beaucoup déplacée dans sa vie ?

(source : Heredis 2021)

Je ne lui connais pas d'autres déplacements hors de ces trois communes. 

11. Comment se déplaçait-elle ? 

Elle se déplaçait en diligence, son frère et son mari étant postillons de diligence.

12. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-elle ?

Son premier métier était journalière, après la mort de son mari. Elle est employé aux travaux des champs et rémunérée à la journée. 

13. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-elle ?

Elle est également aubergiste et tient donc un établissement qui accueille les voyageurs et leur offre le gîte et le couvert. 

14. Comment apparaît-elle dans les recensements ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 2 MILN R179 - vue 63/480)

Elle apparaît sous le prénom de Françoise dans le recensements de 1851 où elle vit à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) avec ses fils Louis, Théodore et Eugène et sa belle fille Joséphine MÉTRAU. 

Dans le recensement de 1846, elle est nommée Flore. Dans les divers actes de sa famille, elle est alternativement nommée Marie Félicité ou Flore Françoise Félicité. 

15. Quel était le parler de sa région ?

Dans sa région natale, on parlait orléanais. Dans la région où elle a vécu après son mariage, on parlait le solognot. 

16. Combien a-t-elle eu d'enfants ?

Elle a eu quatre enfants avec son mari Louis GRELOT :

• Louis Noël (mon ancêtre), voiturier, messager, aubergiste, employé au chemin de fer, garde-magasin d'État, rentier, né le 19 mars 1824 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pauline Stéphanie, cuisinière, née le 30 décembre 1826 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre dit Théodore, fendeur de bois, né le 14 février 1829 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Jean Alfred Eugène, fendeur, journalier, employé au chemin de fer, né le 8 mars 1831 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)

17. A-t-elle assisté au mariage de ses enfants ?

Le 14 mai 1850 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher), elle assiste au mariage de son fils Louis Noël avec Cécile Joséphine MÉTRAU, domestique. 

18. Que signifie son nom de famille ?

D'après Geneanet, DELAHAYE signifie celui qui habite près de la haie, ou dont la maison est entourée d'une haie, ou encore celui qui est originaire d'une localité appelée la Haie ou la Haye. 

19. Qui était son père ?

Signature d'André DELAHAYES

Son père était André DELAHAYES, vigneron et jardinier.

20. Qui était sa mère ?

Sa mère était Marie Anne MALLET, jardinière. 

21. Quelle était sa fratrie ?

Elle est la troisième d'une fratrie de neuf enfants :

• André "Fils", jardinier au Château du Lude à Jouy-le-Potier (Loiret)
• Marie Anne Adélaïde Joséphine, domestique et journalière à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret)
• Sylvain, mort à 1 mois au Château de La Renardière à Ardon (Loiret)
• Claude, mort à 4 mois au Château de La Renardière à Ardon (Loiret)
• Anne Marie Madeleine, domestique à Vierzon (Cher)
• Jean Louis, jardinier au Château de la Papinière à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret) et au Château de Chilly à Marcilly-en-Villette (Loiret)
  
• Pierre André, postillon à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) et La Ferté-Saint-Aubin (Loiret)
• Marie Françoise Félicité, morte à 17 mois à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret)

22. Avait-elle des relations avec les autres membres de sa famille ?

Elle a des relations avec ses frères aux mariages desquels son mari est témoin et qui sont témoins des divers actes de sa famille. 

23. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

(source : Heredis 2021)

Ses ancêtres sont originaires du Loiret, d'Indre-et-Loire et du Loir-et-Cher et seule sa lignée paternelle est lettrée. Ils sont jardiniers et jardinières dans différents châteaux et domestiques. Son arrière-grand-père Mathieu DELECHENEAU était meunier, syndic et fabricien de sa paroisse. 

24. Quelle était sa religion ?

Elle était catholique. 

25. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

26. Avez-vous des photos de votre ancêtre ?

Non. 

27. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cette ancêtre ? Est-elle vraie ?

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

28. Comment a-t-elle participé à la vie de la communauté ?

Elle accueillait les voyageurs dans son auberge.

Biographie : Louis GRELOT

 Louis GRELOT

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Louis Noël GRÉLOT

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Étienne dit Henri GRELOT

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Berthe Louise Stéphanie GRELOT

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI161/R4 - vue 664/733)

Louis GRELOT est né le 26 pluviôse an IX (15 février 1801) à 11h à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher). Sa naissance est déclarée le lendemain au maire de la commune par Françoise BOULAY, demeurant à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher). Je ne sais pas qui sont ses parrain et marraine, mais les deux témoins de sa naissance sont :

• Louis BEYNARD, marchand
• Madeleine PEZARD

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Il se marie le 27 mai 1823 à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret) avec Françoise Félicité dite Marie Félicité ou Flore DELAHAYE, fille de défunt André DELAHAYES et de Marie Anne MALLET. Il est âgé de 22 ans et sa future épouse est âgée de 27 ans. Le mariage est célébré par l'adjoint au maire de la commune. 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Loiret - 4 NUM 146/2 - vue 11/103)

Les témoins du mariage sont :

• Étienne BERTIN, aubergiste, ami de l'époux
  
• Adam DUBOIS, compagnon maréchal, ami de l'époux
• André DELAHAYE, jardinier, frère de l'épouse
• Jean Joseph Simon MOULIN, propriétaire, ami de l'épouse

Tous sont domiciliés à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret). 

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

Le mariage se déroule en présence des mères des deux époux, leurs pères étant décédés. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 5MI161/R7 - vue 155/594)

 Il meurt le 10 novembre 1840 à 8h à l'Auberge Saint-Martin à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) âgé de 39 ans. Le décès est déclaré le jour-même à Jacques Barthélémy DARBLAY, maire de la commune par :

• Jean SEMANCE, fendeur, beau-frère du défunt
• Pierre André DELAHAYE, postillon, beau-frère du défunt

Tous deux sont domiciliés à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) où il a probablement été enterré. 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

Les registres de matricules de son époque ne sont pas numérisés.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur lui dans la presse ?

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-il connus ?

Il naît sous le Consulat, se marie sous le règne de Louis XVIII, roi de France et de Navarre, et meurt sou le règne de Louis-Philippe Ier, roi des Français. 

8. Quelle était son instruction ?

Signature de Louis GRELOT

 Il savait lire et écrire. 

9. Dans quel environnement géographique évoluait-il ?

(source : Archives départementales du Loir-et-Cher - 6 Fi 161/16)

Il vit à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher) à l'auberge La Boule Verte (s'agit-il du même lieu que l'Hôtel de la Croix Verte ?) et à l'auberge Saint-Martin. À l'époque, la commune compte environ 1300 habitants. 

10. S'est-il beaucoup déplacé dans sa vie ?

Il est postillon de diligence et voyage probablement entre les deux grandes villes alentours : Romorantin (Loir-et-Cher) et Orléans (Loiret). Il se rend également à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret) pour son mariage. 

11. Comment se déplaçait-il ?

(source : Godefroy ENGELMANN, Voiture à quatre chevaux avec un postillon, 19e siècle)

Il se déplaçait en diligence.

12. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-il ?

Son premier métier est postillon de diligence. Le postillon conduisait une voiture à cheval non pas depuis la voiture, comme un cocher, mais en montant sur l'un des chevaux. Il utilisait un cor de poste (ou cor de postillon) pour prévenir de son arrivée dans les relais.

13. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-il ?

Il sera ensuite aubergiste, métier en lien direct avec celui de postillon car les diligence voyageaient d'une auberge à l'autre, et est mentionné une fois post-mortem comme cultivateur.

14. Comment apparaît-il dans les recensements ?

Il n'y a pas de recensements à son époque.

15. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le solognot.

16. Combien a-t-il eu d'enfants ?

Il a eu quatre enfants avec sa femme Françoise Félicité dite Marie Félicité ou Flore DELAHAYE : 

• Louis Noël (mon ancêtre), voiturier, messager, aubergiste, employé au chemin de fer, garde-magasin d'État, rentier, né le 19 mars 1824 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pauline Stéphanie, cuisinière, née le 30 décembre 1826 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre dit Théodore, fendeur de bois, né le 14 février 1829 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Jean Alfred Eugène, fendeur, journalier, employé au chemin de fer, né le 8 mars 1831 à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)

17. A-t-il assisté au mariage de ses enfants ?

Il est mort avant que ses enfants ne se marient.

18. Que signifie son nom de famille ?

Voici la définition qu'on en trouve sur Filae : GRELOT est un nom de famille, forme altérée de grillot, surnom d'un homme gai, de bonne humeur.  Peut aussi représenter un dérivé de grêle, en ancien français mince, gracile, sobriquet d'un homme maigre. 

19. Qui était son père ?

Son père était Pierre dit François Pierre GRELOT, cultivateur, laboureur, aubergiste, cabaretier et marchand cabaretier.

20. Qui était sa mère ?

Sa mère était Françoise GAGNEPAIN, propriétaire. 

21. Quelle était sa fratrie ?

Il est le quatrième d'une fratrie de treize enfants, tous issus du second mariage de son père :

• Catherine Françoise, morte à 2 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre Étienne, mort à 3 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• François, mort à 7 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Louis Gabriel, mort à 3 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Abel, mort à 7 mois à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
  
• Françoise Pauline, domestique à Lothiers à Luant (Indre)
• Jacques, mort à 27 jours à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Françoise Rosalie, domestique et journalière à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Sophie Augustine, morte à 11 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Pierre Jules, mort à 2 ans à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)
• Flore Julie, domestique à Vierzon-Villages (Cher)
• Sophie Alexandrine, morte à 2 ans à La Boule Verte à Nouan-le-Fuzelier (Loir-et-Cher)

22. Avait-il des liens avec les autres membres de sa famille ?

Oui, il est témoin des mariages de ses soeurs et ses beau-frères sont témoins des actes de sa famille. 

23. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

(source : Heredis 2021)

Tous ses ancêtres sont illettrés et sont originaires du Loir-et-Cher, du Loiret et du Cher. Ils sont travailleurs de la terre (manoeuvres, laboureurs), du tissu (tisserande) et hôteliers (aubergiste, cabaretier).

24. Quelle était sa religion ?

Il était catholique. 

25. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

26. Avez-vous des photos de votre ancêtre ?

Non. 

27. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet ancêtre ? Est-elle vraie ?

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

28. Comment a-t-il participé à la vie de la communauté ?

Il déplaçait les personnes en diligence avant l'invention du chemin de fer et accueillait les voyageurs dans son auberge.

Biographie : Jeanne Virginie DOUARD

 Jeanne Virginie DOUARD

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Victorine dite Victoire ROBERT

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Virginie MONORY

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Pierre Marie Joseph FRÉMEAU

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Cher - 3E 1708 - vue 110/261)

 Jeanne Virginie DOUARD est née le 16 floréal an XIII (6 mai 1805) à 1h à Châteauneuf-sur-Cher (Cher). Sa naissance est déclarée le lendemain à Mathieu DUBOIS, adjoint au maire de la commune, par Pierre DOUARD, charpentier à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), père de l'enfant. Je ne sais pas qui sont ses parrain et marraine, mais les deux témoins de sa naissance sont :

• Jean DOUARD, charpentier, oncle de l'enfant
• Sylvain GIRAULT, marchand

Tous deux sont domiciliés à Châteauneuf-sur-Cher (Cher). 

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Elle se marie le 3 juillet 1827 à 8h à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) avec Pierre Claude ROBERT, boulanger, fils des défunts Sylvain ROBERT et Madeleine LADANNE. Les deux époux sont âgés de 22 ans. Le mariage est célébré par Gilbert DUBOIS, maire de la commune. 

Signature de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Cher - 3E 3054 - vue 34/223)

 Les témoins du mariage sont :

• Edmé BRUNET, vigneron
• Mathieu ROBERT, roulier, frère de l'époux
• Pierre DOUARD, couvreur, frère de l'épouse
• François MARTIN, vigneron, beau-frère de l'époux

Tous sont domiciliés à Châteauneuf-sur-Cher (Cher). 

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

L'acte de mariage ne précise pas si la mère de l'épouse (seule parente vivante des époux) est présente à ce mariage. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ?

(source : Archives départementales du Cher - 3E 4945 - vue 134/190)

 Elle meurt le 13 décembre 1892 à 9h à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) âgée de 87 ans. Le décès est déclaré deux heures plus tard à Victor MARGOT, maire de la commune, par :

• Joseph Pierre Marie GARDIEN, vétérinaire, gendre de la défunte
  
• Eugène ROBERT, horloger, petit-fils de la défunte

Tous deux sont domiciliés à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) où elle a probablement été inhumée. 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

Les femmes ne participaient pas à l'armée. 

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur elle dans la presse ?

(source : Journal du Cher, n°24, 11 février 1883, p. 4)

Non, mais je trouve une annonce de vente d'une maison de son frère Pierre Louis DOUARD-DOUARD en 1883. 

7. Quels évènements historiques a-t-elle connus ?

Elle naît sous le règne de Napoléon Ier, empereur des Français, se marie sous le règne de Charles X, roi de France et de Navarre, et meurt sous la présidence de Sadi CARNOT.

8. Quelle était son instruction ?

Elle était illettrée. 

9. Dans quel environnement géographique évoluait-elle ?

(source : Archives départementales du Cher - 6 Fi Châteauneuf-sur-Cher 13)

Elle habite Rue de la Halle à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) dans une boulangerie avec son mari. Puis ils vivent Rue de Tivoli dans la même commune à partir de 1872. À cette époque, la commune compte environ 3000 habitants. 

10. S'est-elle beaucoup déplacée dans sa vie ?

Je ne lui connais qu'un seul déplacement à Saint-Florent-sur-Cher (Cher) pour le mariage de son fils. 

11. Comment se déplaçait-elle ?

Elle se déplaçait probablement en voiture à cheval

12. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-elle ?

Au moment de son mariage, elle est couturière, ce qui signifie qu'elle confectionne des vêtements.

13. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-elle ?

Elle est également boulangère et assiste probablement son mari dans la fabrication et la vente du pain à la boulangerie. À la fin de sa vie, elle est rentière, ce qui signifie qu'elle a épargné suffisamment pour vivre de ses rentes. 

14. Comment apparaît-elle dans les recensements ?

(source : Archives départementales du Cher - 27J 0080 - vue 12/49)

Elle apparaît toujours sous le prénom de Virginie qui était son prénom usuel, comme ici, dans le recensement de 1856. 

15. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le berrichon.

16. Combien a-t-elle eu d'enfants ?

Elle a eu cinq enfants avec son mari Pierre Claude ROBERT :

• Claude, né le 28 mars 1828 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) et mort à 11 jours
• Victorine dite Victoire (mon ancêtre), meunière, ménagère et propriétaire, née le 21 septembre 1829 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Louis, boulanger et propriétaire, né le 23 novembre 1831 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Mathieu Eugène, boulanger, né le 22 octobre 1836 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Marie Victoire dite Louise, femme d'un vétérinaire, née le 9 octobre 1842 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)

17. A-t-elle assisté au mariage de ses enfants ?

Le 12 février 1849 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), elle assiste au mariage de sa fille Victorine dite Victoire, avec François MONORY, meunier. 

Le 22 novembre 1853 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), elle assiste au mariage de son fils Louis avec Clémence Louise CHANGEUX, fille d'un charron.

Le 25 février 1861 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), elle assiste au mariage de son fils Louis avec Anne COUDREAU, fille d'un propriétaire. 

Le 29 avril 1863 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), elle assiste au mariage de sa fille Marie Victoire dite Louise avec Joseph Pierre Marie GARDIEN, vétérinaire. 

Le 17 juin 1867 à Saint-Florent-sur-Cher (Cher), elle assiste au mariage de son fils Mathieu Eugène avec Marie Célestine MOREL, couturière. 

18. Que signifie son nom de famille ?

D'après Geneanet, il peut s'agir d'un nom de personne d'origine germanique, Dodhard (dod = racine obscure, sans doute onomatopéique + hard = dur). Mais il faut également penser à une variante d'Édouard. 

19. Qui était son père ?

Son père était Pierre DOUARD, charpentier compagnon.

20. Qui était sa mère ?

Signature d'Anne PRIGAT

Sa mère était Anne PRIGAT, couturière, propriétaire et rentière.

21. Quelle était sa fratrie ?

Elle est la quatrième d'une fratrie de six enfants :

• Victoire, morte à 1 mois à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Pierre, couvreur à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Madeleine, morte à 3 ans à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Victoire, morte à 7 ans à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Pierre Louis, charpentier et journalier à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)

22. Avait-elle des relations avec les autres membres de sa famille ? 

Elle est en lien avec ses deux frères Pierre et Pierre Louis qui sont témoins des divers actes de sa famille.

23. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ? 

(source : Heredis 2021)

Ses ancêtres paternels sont originaires de la Creuse et sont illettrés, ses ancêtres maternels sont originaires du Cher et sont tous lettrés. Dans sa famille paternelle, on trouve principalement des travailleurs du bâtiment : charpentier, maçon. dans sa famille maternelle, des professions du droit : huissier royal, procureur, cavalier de la maréchaussée. Son arrière-grand-mère, damoiselle Catherine JAUPITRE, était issue de la noblesse berruyère. 

24. Quelle était sa religion ?

Elle était probablement catholique. 

25. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

26. Avez-vous des photos de votre ancêtre ?

Non. 

27. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cette ancêtre ? Est-elle vraie ?

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

28. Comment a-t-elle participé à la vie de la communauté ?

Elle était boulangère à une époque où le pain était un élément central de l'alimentation.

Biographie : Pierre Claude ROBERT

 Pierre Claude ROBERT

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Victorine dite Victoire ROBERT

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Virginie MONORY

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Pierre Marie Joseph FRÉMEAU

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Cher - 3E 1708 - vue 94/261)

Pierre Claude ROBERT est né le 12 brumaire an XIII (3 novembre 1804) à Châteauneuf-sur-Cher (Cher). Sa naissance est déclarée le lendemain à Mathieu DUBOIS, adjoint au maire de la commune par son père, Sylvain ROBERT, voiturier à Châteauneuf-sur-Cher (Cher). Je ne sais pas qui sont ses parrain et marraine, mais les témoins de sa naissance sont :

• Pierre Claude CITREUX, tanneur
• Jean CAVOIT, serrurier

Tous deux sont domiciliés à Châteauneuf-sur-Cher (Cher).  

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Il se marie le 3 juillet 1827 à 8h à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) avec Jeanne Virginie DOUARD, couturière, fille de défunt Pierre DOUARD, et d'Anne PRIGAT, couturière. Les deux époux sont âgés de 22 ans. Le mariage est célébré par Gilbert DUBOIS, maire de la commune. 

Signature de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Cher - 3E 3054 - vue 34/223)

Les témoins du mariage sont :

• Edmé BRUNET, vigneron
• Mathieu ROBERT, roulier, frère de l'époux
• Pierre DOUARD, couvreur, frère de l'épouse
• François MARTIN, vigneron, beau-frère de l'époux

Tous sont domiciliés à Châteauneuf-sur-Cher (Cher). 

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

L'acte de mariage ne précise pas si la mère de l'épouse (seule parente vivante des époux) est présente à ce mariage. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ?

(source : Archives départementales du Cher - 3E 4452 - vue 68/243)

 Il meurt le 5 mars 1876 à 16h à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) âgé de 71 ans. Le décès est déclaré une heure plus tard à Charles Alexandre RIPART, maire de la commune, par :

• Mathieu Eugène ROBERT, boulanger, fils du défunt
• Pierre FRÉMEAU, boulanger, petit-fils par alliance du défunt

Tous deux sont domiciliés à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) où il a probablement été inhumé. 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

Les matricules de son époque ne sont pas numérisés.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur lui dans la presse ?

Non. 

7. Quels évènements historiques a-t-il connus ? 

Il naît sous le Consulat, se marie sous le règne de Charles X, roi de France et de Navarre, et meurt sous la présidence de Patrice de MAC MAHON. 

8. Quelle était son instruction ?

Il était illettré.

9. Dans quel environnement évoluait-il ?

(source : Archives départementales du Cher - 6 Fi Châteauneuf-sur-Cher 13)

 Il habite Rue de la Halle à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), peut-être dans la même boulangerie qui deviendra la Boulangerie Frémeau suite au mariage de sa petite-fille avec Pierre FRÉMEAU (à droite sur la photo devant la boulangerie). À la fin de sa vie, il habite Rue de Tivoli dans la même commune. À cette époque, la commune compte environ 3000 habitants. 

10. S'est-il beaucoup déplacé dans sa vie ?

Je ne lui connais qu'un seul déplacement à Saint-Florent-sur-Cher (Cher) pour le mariage de son fils. 

11. Comment se déplaçait-il ?

Il se déplaçait probablement en voiture à cheval. 

12. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-il ?

Il est boulanger, c'est-à-dire qu'il fabrique du pain. 

13. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-il ?

Il est également dit propriétaire (ce qui signifie qu'il possédait sa boulangerie) et rentier. 

14. Comment apparaît-il dans les recensements ?

(source : Archives départementales du Cher - 27J 0023 - vue 24/80)

Il est toujours désigné sous le prénom de Claude qui était son prénom usuel, comme dans ce recensement de 1841, où il vit à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) avec sa femme, leurs trois enfants et un domestique (il s'agit peut-être d'un mitron). 

15. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le berrichon. 

16. Combien a-t-il eu d'enfants ?

Il a eu cinq enfants avec sa femme Jeanne Virginie DOUARD :

• Claude, né le 28 mars 1828 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) et mort à 11 jours
• Victorine dite Victoire (mon ancêtre), meunière, ménagère et propriétaire, née le 21 septembre 1829 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Louis, boulanger et propriétaire, né le 23 novembre 1831 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Mathieu Eugène, boulanger, né le 22 octobre 1836 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Marie Victoire dite Louise, femme d'un vétérinaire, née le 9 octobre 1842 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)

17. A-t-il assisté au mariage de ses enfants ?

Le 12 février 1849 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), il assiste au mariage de sa fille Victorine dite Victoire, avec François MONORY, meunier. 

Le 22 novembre 1853 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), il assiste au mariage de son fils Louis avec Clémence Louise CHANGEUX, fille d'un charron.

Le 25 février 1861 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), il assiste au mariage de son fils Louis avec Anne COUDREAU, fille d'un propriétaire. 

Le 29 avril 1863 à Châteauneuf-sur-Cher (Cher), il assiste au mariage de sa fille Marie Victoire dite Louise avec Joseph Pierre Marie GARDIEN, vétérinaire. 

Le 17 juin 1867 à Saint-Florent-sur-Cher (Cher), il assiste au mariage de son fils Mathieu Eugène avec Marie Célestine MOREL, couturière. 

18. Que signifie son nom de famille ?

D'après Geneanet, c'est un nom de personne d'origine germanique, Hrodberht (hrod = gloire + berht = brillant) qui est le cinquième nom le plus fréquent présent en France. 

19. Qui était son père ?

Son père était Sylvain ROBERT, journalier, manoeuvre, voiturier et huilier.

20. Qui était sa mère ?

Sa mère était Madeleine LADANNE. 

21. Quelle était sa fratrie ?

Il est le sixième d'une fratrie de sept enfants :

• Victoire, domestique à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Françoise, morte à 27 jours Route de Levet à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Jeanne, morte à 12 ans à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Mathieu, roulier et journalier à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• François, mort à 3 mois à Châteauneuf-sur-Cher (Cher)
• Victoire Madeleine, domestique et marchande de chèvres à Châteauneuf-sur-Cher (Cher) puis Rue Guillon à Saint-Amand-Montrond (Cher)

22. Avait-il des relations avec les autres membres de sa famille ?

Il a des relations avec son beau-frère François MARTIN (époux de sa soeur Victoire) et avec son frère Mathieu. 

23. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

(source : Heredis 2021)

 

Ses ancêtres sont originaires du Cher, de la Creuse et de l'Allier. Son grand-père Sylvain ROBERT et ses arrières-grands-pères Pierre Joseph CARTAULT et Claude ALADAMNE savaient signer. Ils sont travailleurs de la terre (laboureurs, journalier, manoeuvre), du tissu (tailleur), dans l'alimentation (huilier, maître cabaretier). On trouve également un garde forestier, et une honnête fille (son arrière-grand-mère Marie Madeleine BELIN).

24. Quelle était sa religion ?

Il était catholique. 

25. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

26. Avez-vous des photos de votre ancêtre ?

Non. 

27. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cet ancêtre ? Est-elle vraie ?

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

28. Comment a-t-il participé à la vie de la communauté ?

Il était boulanger à une époque où le pain était un élément central de l'alimentation.

Biographie : Élisabeth BAUDAT

 Élisabeth BAUDAT

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François MONORY

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Virginie MONORY

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Pierre Marie Joseph FRÉMEAU

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Mon grand-père

1. Est-ce que j'ai toutes les informations sur sa naissance ? Son baptême ? Qui étaient ses parrain et marraine ?

(source : Archives départementales du Cher - EDEPOT2079 - vue 7/123)

Élisabeth BAUDAT est née le 3e jour des sanculotides an II (19 septembre 1794) à Vallenay (Cher). Sa naissance est déclarée le jour-même à l'officier public de la commune par Anne PATUREAU, sage-femme à Vallenay (Cher). Je ne sais pas qui sont ses parrain et marraine, mais il est possible qu'il s'agisse des deux témoins :

• Simon DUQUET, charbonnier à Vallenay (Cher)
• Élisabeth RABY, demeurant à Uzay-le-Venon (Cher), tante de l'enfant

2. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son mariage ? Qui était présent ? Liens de parenté ?

Elle se marie le 5 juin 1810 à Vallenay (Cher) avec André MONORY, menuisier, fils de Jean Baptiste MONNORY, charpentier propriétaire, et de défunte Catherine MOREAU. Elle est âgée de 15 ans et son futur époux est âgé de 23 ans. Le mariage est célébré par Nicolas BEGUIN, maire de la commune. 

Signatures de l'acte de mariage (source : Archives départementales du Cher - 3E 1921 - vue 65/223)

Les témoins du mariage sont :

• François BARBIER, charpentier à Vallenay (Cher), beau-frère de l'épouse
• Pierre dit Philippe BAUDAT "Fils", charpentier à Vallenay (Cher), frère de l'épouse
• Guillaume MONNORIT, vigneron et propriétaire à Issoudun (Indre)
• Louis PITAUT, vigneron à Rousson (Cher)

3. Comment s'est déroulé le mariage ?

Le mariage se déroule en présence des parents de l'épouse et du père de l'époux. 

4. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son décès ? Qui était présent ? Où a eu lieu l'enterrement ?

(source : Archives départementales du Cher - 3E 3431 - vue 221/225)

Elle meurt le 19 juin 1846 à Rousson à Saint-Loup-et-Rousson (Cher) âgée de 51 ans. Le décès est déclaré le lendemain à François MONORY, adjoint au maire de la commune (son fils) par :

• Jean BLÉ, domestique
• François RENAUT, propriétaire

Tous deux sont domiciliés à Rousson à Saint-Loup-et-Rousson (Cher) où elle a probablement été enterrée. 

5. Est-ce que j'ai toutes les informations sur son passé militaire ?

Les femmes ne participaient pas à l'armée.

6. Est-ce que je peux trouver des informations sur elle dans la presse ?

Non.

7. Quels évènements historiques a-t-elle connus ?

Elle naît sous la Convention, se marie sous le règne de Napoléon Ier, empereur des Français, et meurt sous le règne de Louis-Philippe Ier, roi des Français. 

8. Quelle était son instruction ?

Signature d'Élisabeth BAUDAT

Elle savait lire et écrire.

9. Dans quel environnement évoluait-elle ?

(source : E. LEUDIÈRE de LONGCHAMPS, Carte topographique, routière, administrative du département du Cher, 1847)

Elle naît et passe son enfance à Vallenay (Cher) et déménage à Rousson à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher) après son mariage. À son époque, la commune de Vallenay compte environ 600 habitants. 

10. S'est-elle beaucoup déplacée dans sa vie ?

Je ne lui connais aucun déplacement à part en 1835 à Primelles (Cher) pour le mariage de son fils François. 

11. Comment se déplaçait-elle ?

Elle se déplaçait probablement en voiture à cheval. 

12. Quel était son premier métier ? Comment en vivait-elle ?

Elle est dite meunière après la mort de son mari et s'occupe probablement de la gestion du moulin de Rousson. 

13. Quels étaient ses autres métiers ? Comment en vivait-elle ?

Elle est également propriétaire, ce qui signifie qu'elle possédait des biens immobiliers. 

14. Comment apparaît-elle dans les recensements ?

(source : Archives départementales du Cher - 27J 0017 - vue 6/19)

En 1836, dans son premier recensement, elle apparaît en chef de famille à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher). Elle est alors veuve et est qualifiée de "meunier". Elle vit avec ses quatre enfants, sa belle-fille et quatre domestiques. 

15. Quel était le parler de sa région ?

On y parlait le berrichon. 

16. Combien a-t-elle eu d'enfants ?

Elle a eu onze enfants avec son mari André MONORY : 

• Marie, propriétaire et rentière, née le 4 juillet 1811 à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher)
• François (mon ancêtre), meunier, adjoint au maire de Saint-Loup-des-Chaumes et de Saint-Loup-et-Rousson, maire de Saint-Loup-et-Rousson, propriétaire, négociant en grains, né le 20 août 1812 à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher)
• Marie Catherine, née le 22 avril 1814 à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher) et morte à 2 jours
• Catherine dite Héloïse, femme d'un charbonnier, née le 5 août 1815 à Rousson à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher)
• Alexandrine, née le 4 janvier 1817 à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher) et morte à 9 mois
• Marie Virginie, propriétaire, née le 2 novembre 1818 à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher)
• Hélène Marie, maréchale, née le 4 mars 1821 à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher)
• Victorine Marie, née le 24 février 1823 à Saint-Loup-des-Chaumes (Cher) et morte à 6 mois
• Rosalie Marie, née le 13 avril 1824 au Moulin de Sauzay à Saint-Loup-et-Rousson (Cher) et morte à 6 ans
• Charles Denis, né le 4 novembre 1828 au Moulin de Rousson à Saint-Loup-et-Rousson (Cher) et mort à 9 jours
• Marie Virginie dite Rose, femme d'un fermier, née le 9 novembre 1833 à Rousson à Saint-Loup-et-Rousson (Cher)

17. A-t-elle assisté au mariage de ses enfants ?

Le 13 juillet 1830 à Saint-Loup-et-Rousson (Cher), elle assiste au mariage de sa fille Marie avec Philippe Ursin CANDELET, cultivateur.

Le 1er juin 1835 à Primelles (Cher), elle assiste au mariage de son fils François (mon ancêtre) avec Jeanne Rose JOLIVET, fille d'un laboureur.

Le 6 septembre 1836 à Saint-Loup-et-Rousson (Cher), elle assiste au mariage de sa fille Marie Virginie avec Joseph WENTZEIS, gendarme, Chevalier de la Légion d'honneur. 

18. Que signifie son nom de famille ?

D'après Filae, BAUDAT est un dérivé de baud qui signifie joyeux/gai, surnom d'un homme enjoué en ancien français et en occitan. 

19. Qui était son père ?

Signature de Pierre BAUDAT

Son père était Pierre BAUDAT, maître charpentier, marchand, maire de Vallenay, entrepreneur, propriétaire et marchand de bois.

20. Qui était sa mère ?

Sa mère était Marie RABY, propriétaire.

21. Quelle était sa fratrie ?

Elle est la cadette d'une fratrie de neuf enfants issus des deux mariages de son père :

• Pierre dit Philippe, propriétaire, charpentier et rentier à Vallenay (Cher)
• Léon, mort à 3 mois à Vallenay (Cher)
• Catherine, rentière à L'Orange à Vallenay (Cher)
• Madeleine, morte à 4 ans à Vallenay (Cher)
• Marie, morte à 1 mois à Vallenay (Cher) 
• Jacques, mort à 28 jours à Vallenay (Cher)
• Alexandre, mort à 17 mois à Vallenay (Cher)
• Marie, morte à 3 jours à Vallenay (Cher)

22. Avait-elle des relations avec les autres membres de sa famille ?

Elle a des relations avec son frère Pierre, son beau-frère François BARBIER et son neveu André BARBIER qui sont témoins des divers actes de sa famille. 

23. Pouvez-vous retracer sa généalogie sur quatre générations ?

(source : Heredis 2021)

Tous ses ancêtres sont originaires du Cher et son illettrés (à l'exception de son père). Ils sont meuniers, vignerons, huiliers, propriétaires, domestiques, couvreur.

24. Quelle était sa religion ?

Elle était catholique. 

25. Votre ancêtre chez le notaire.

Je ne lui connais pas d'acte notarié.

26. Avez-vous des photos de votre ancêtre ?

Non. 

27. Y a-t-il une histoire qui se transmet sur cette ancêtre ? Est-elle vraie ?

Je n'ai pas d'anecdote à son sujet. 

28. Comment a-t-elle participé à la vie de la communauté ?

Elle était meunière et fabriquait de la farine à une époque où le pain était un élément central de l'alimentation.